dimanche 28 août 2011

Extraction de privilèges Mirorii - dl.free, Megaupload, ..

Extraction de privilèges Mirorii - dl.free, Megaupload, ..:
Ce morceau de code sauce MacGyver nécessite une distribution GNU/Linux et le logiciel puf pour fonctionner (on peut aussi utiliser wget mais c’est bien plus lent).

#!/bin/bash

# téléchargement de la page Séries

wget -O series http://www.fansub-streaming.eu/blog/series

# on isole les liens vers les dossiers Mirorii dans le fichier "dossiers"

grep -o http://www.mirorii.com/dossier/[^[:space:]]*.html series > dossiers

# on télécharge les pages dossiers dans le fichier "dossier"

puf -O dossier -i dossiers

# on isole les liens des fichiers dans le fichier "links"

grep -o http://www.mirorii.com/fichier.*.html dossier > links

# on télécharge les pages fichiers dans le fichier "fichiers"

puf -O fichiers -i links

# on isole les liens dl.free.fr vers le fichier "linksfree"

grep -o http://dl.free.fr[^[:space:]]*\" fichiers | sed -e "s/\"//" > linksfree

# on télécharge les 25 premiers kilo-octets de tous les fichiers sur dl.free.fr

# decommentez les lignes suivantes si vous êtes abonné Free: ça permet de réinitialiser le délai de rétention de 30 jours sans téléchargements avant suppression

# mkdir out

# puf -lb 26720 -P out -U "Mozilla/5.0 (X11; Linux x86_64; rv:5.0) Gecko/20100101 Firefox/5.0" -i linksfree

# rm -rf out

# on isole les liens hotfile ul.to rapidshare et megauplaod dans des fichiers distincts

grep -o http://hotfile[^[:space:]]*\" fichiers | sed -e "s/\"//" > linkshf

grep -o http://ul.to[^[:space:]]*\" fichiers | sed -e "s/\"//" > linksut

grep -o http://rapidshare.com[^[:space:]]*\" fichiers | sed -e "s/\"//" > linksrs

grep -o http://www.megaupload.com[^[:space:]]*\" fichiers | sed -e "s/\"//" > linksmu

# on fusionne les fichiers vers un seul fichier contenant tous les liens de tous les hébergeurs

cat linksfree linkshf linksut linksrs linksmu > touslesfichiers

# commentez la ligne suivante pour conserver les fichiers intermédiaires

rm dossier fichiers series



Télécharger le script (zip)

J’ai ajouté des commentaires pour bien expliquer ce que ça fait. Me reste juste à expliquer la finalité de ce script:

  1. en téléchargeant un morceau des fichiers sur dl.free.fr (quand on est abonné Free), on remet à zéro le compteur (qui veut qu’un fichier non téléchargé depuis 30 jours est supprimé)
  2. permet d’isoler dans des fichiers séparés tous les liens des fichiers pour chaque stockage de fichiers
  3. permet en particulier de réunir les liens Megaupload (stockage le fiable via Mirorii) afin d’en tester la disponibilité (copier-coller dans jdownloader)

Sur ce, je m’en vais renouveler les liens :) Très peu de dl.free.fr sont disponibles.

edit: je viens de voir que la regexp que j’utilise n’aime pas quand l’URL d’un fichier Mirorii contient un espace: corrigé.

Merci à de Fansub Streaming


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jeudi 25 août 2011

Ext2Fsd

Ext2Fsd est un pilote de système de fichiers qui permet d'accéder (en lecture et écriture) EXT2, EXT3 ou EXT4 partitions à partir de Windows. Il fonctionne avec Windows 2000, XP, Vista et Windows 7.

Ext2Fsd a limité le soutien et EXT4 par défaut, il va charger le système de fichiers en mode lecture seule, mais vous pouvez forcer cela si vous avez vraiment à écrire sur des partitions EXT4 à partir de Windows. En l'utilisant, vos partitions EXT sera affiché comme NTFS natif ou les partitions FAT, en étant accessible à partir de Windows Explorer.


A noter que EXT4 partitions sera affiché comme EXT3 (j'ai effectivement utilisé EXT4 partitions pour les tests, mais ils apparaissent comme EXT3.




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samedi 20 août 2011

La nouvelle politique de Firefox (Korben)

Mozilla Firefox black pins (wallpaper)Image by flod via FlickrBelle info merci Mr Korben


La nouvelle politique de Firefox (Korben):
Mozilla souhaite se débarrasser des numéros de version dans Firefox… La belle affaire :-) Ça peut sembler étrange mais la raison essentielle de cette décision est la concurrence… Avant, entre Firefox 3 et 4, il fallait attendre plusieurs années entre les releases majeures. Date de sortie de Firefox 3 : Juin 2008 Date de sortie de Firefox 4, il fallait attendre plusieurs années entre les releases majeures.
  • Date de sortie de Firefox 3 : Juin 2008
  • Date de sortie de Firefox 4 : Mars 2011
Qui dit devoir attendre, dit nouvelles fonctionnalités intéressantes reportées pour la prochaine version. Et pendant ce temps là, Chrome et même Internet Explorer gagnent du terrain car sortent plus rapidement leurs releases.
Mozilla a donc depuis peu adopté ce qu’ils appellent un Rapid Release Process… Un process de sorties rapides. Toutes les 6 semaines, une nouvelle version de Firefox verra le jour. Elle ne sera plus rythmée par l’ajout de fonctionnalités, comme c’est le cas pour 90% des logiciels, mais rythmé par le temps, comme c’est le cas par exemple chez Canonical avec Ubuntu.
6 semaines entre chaque release, ça implique un process de test et de publication des versions qui soit au poil. Pour cela, Mozilla travaille en 4 phases et propose 4 versions de Firefox :
  • Nightly build – Ce sont les versions compilées à la fraiche. Ce n’est pas stable mais ça permet de débourrer les bugs et nouvelles fonctionnalités
  • Aurora – A mi-chemin entre l’alpha et la beta, Aurora est la fille d’une nightly build à qui ont a retiré ce qui plante ou fonctionne mal. C’est réservé aux aventuriers du browser et présente encore quelques risques de crash.
  • Beta – Aurora, une fois nettoyée de ses défauts devient une beta. Chez Mozilla, les beta sont hyper stables grâce justement aux 2 releases précedentes
  • Finale – Et enfin, la beta une fois consolidée, devient une version finale encore plus robuste et over stable.
cap 2011 08 20 %C3%A0 07.34.02 La nouvelle politique de Firefox
Entre toutes ces phases, il y a 6 semaines glissantes. Comme, je vous l’expliquais, ces releases sont rythmées par le temps. Il se peut donc qu’il n’y ai pas de nouvelles fonctionnalités de oufs malades entre ces versions, mais juste des optimisations et des corrections de bugs. Si une fonctionnalité n’est pas prête, elle ne sera pas déployée dans la release finale de Firefox mais pourra remontrer le bout de son nez très rapidement, au bout de 6 semaines. Avant lorsqu’une fonctionnalité n’était pas prête pour une release majeure, il fallait attendre 1 an avant qu’elle ait à nouveau sa chance. Pas motivant pour les développeurs et pas cool pour les utilisateurs. A ce rythme, Firefox 8 verra le jour avant la fin de l’année.
Pour l’utilisateur final qui veut toujours le dernier cri en matière de logiciel, si demain, entre Firefox 9 et 10, il ne voit aucune différence à l’oeil nu, parce qu’il y a eu juste des updates pour corriger les bugs, il ne va pas comprendre l’intérêt de cette release. Et ça arrivera car c’est comme ça que ça fonctionne maintenant. Enlever le numéro de version et adopter ce process de releases rapides, c’est faire de Firefox un outil beaucoup plus vivant, comme un site internet sur lequel les mises à jour seraient faites en continu.
L’utilisateur y gagne car il n’est plus obligé d’attendre des mois et des mois pour avoir telle ou telle nouvelle fonctionnalité et Mozilla y gagne car ils deviennent beaucoup plus réactifs face à Chrome qui fonctionne aussi avec rythme de sortie effrénée. Et cela ne se fait pas au détriment de la stabilité du browser, puisque Aurora et la Beta sont là pour éponger les bugs. Je tourne d’ailleurs entre Aurora et la Beta, et je n’ai eu pour le moment aucun souci.
Mis à part ça, Firefox n’oublie pas les développeurs et à beaucoup amélioré sa console web sans oublier l’intégration d’un nouvel outil qui s’appelle (en français), l’ardoise javascript (Scratchpad en anglais), qui permet d’exécuter du javascript sur l’onglet en cours. Pratique pour tester vos JS sur différentes versions de votre site. C’est un genre de greasemonkey à la mano si vous préférez.
J’ai eu Tristan Nitot (Président de Mozilla Europe) au téléphone hier et je lui ai posé la question qui fâche, ce qui a donné un truc comme ça : « Lorsqu’une release de Firefox sort, elle est super rapide, ça ne rame pas et c’est génial, mais au bout de quelques temps, et après quelques mises à jour, ça redevient lent. Pourquoi ? Pourquoiiiiiiiiii ?« . Il m’a expliqué que les équipes de Mozilla bossaient sérieusement sur l’optimisation de la mémoire (projet MemSchrink). Ils procèdent régulièrement à des réajustements au niveau de l’utilisation mémoire, ce qui fait que parfois, on a une release qui booste bien. Ensuite, avec les nouvelles fonctionnalités qui débarquent, ça peut ralentir à nouveau le browser, et il faut ensuite faire un nouveau rééquilibrage, pour retrouver un browser qui gambade dans la prairie. Ce qui est sûr c’est que ça va dans le bon sens. Firefox 6 consomme environ 20 à 30% de mémoire de moins que Firefox 5, ce qui n’est pas négligeable.
Finalement, le choix du navigateur, c’est un peu comme le choix du système d’exploitation. Chacun adopte celui qui lui convient le mieux. Le tout étant quand même de les tester pour savoir si ça vous convient. Je vous invite à tester pendant quelques jours un navigateur différent de celui que vous avez. Chrome, Opera, Firefox et même IE. Et en fonction de votre propre expérience, vous trouverez le browser qui vous va le mieux.
Je suis un gros fan de Chrome, mais en ce moment, j’ai pas mal de plantages et il consomme beaucoup de mémoire, donc depuis quelques jours, je surfe sur Firefox 7 beta et pour le moment, j’en suis très content. Mais je ne suis pas très fidèle en informatique et j’aime bien changer régulièrement, donc on verra bien ce que ça donne au fil du temps. Quoiqu’il en soit, je trouvais intéressant de vous expliquer pourquoi Mozilla se dirige vers un browser sans numéro de version, ainsi qu’un rythme de publication endiablé.
Allez, bon week end et encore merci à Tristan de m’avoir accordé un peu de son temps !
Source : Korben
Explorer : High-tech, Internet, Mozilla, Navigateurs, Open Source


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dimanche 14 août 2011

Installation du serveur FTP et ajout d’un nom de domaine sur un serveur dédié

 Excellent tuto de Tutoriels-Video


Installation du serveur FTP et ajout d’un nom de domaine sur un serveur dédié: "
Dans ce tutoriel consacré aux serveurs dédiés (cliquez ici pour le sommaire), nous allons voir comment installer un serveur FTP avec proftpd, comment faire pointer un nom de domaine sur un serveur dédié en configurant les DNS avec bind et comment configurer apache pour ajouter un site internet.
Ce tutoriel est sans doute l’un des plus compliqués de la série sur les serveurs dédiés. Pour résumé simplement, on va ajouter un site internet sur notre serveur dédié. Pour ajouter un site, on a besoin de configurer le serveur DNS pour que le nom de domaine soit bien géré par notre serveur dédié et configurer apache pour lui dire « si tu reçois une requête pour ce nom de domaine, voilà où sont situé les fichiers nécessaires et voilà les règles à appliquer ».
Avant de commencer la vidéo, je vous recommande de lire (en diagonale) la page wikipedia sur les serveurs DNS pour que vous puissiez vous faire une idée de ce que c’est.
Pour télécharger la vidéo, cliquez sur l’image ci-dessous :Comme d’habitude, un petit résumé de la vidéo avec les différents codes utilisés s’impose.

Installation du serveur FTP

L’installation du serveur FTP est l’étape la plus simple de la vidéo, il suffit de faire un « apt-get install proftpd » et de choisir « indépendamment » (standalone) lors de l’installation pour avoir un serveur FTP fonctionnel. Niveau configuration, voici ce que je recommande :
/etc/proftpd/proftpd.conf
# On est pas encore en IPV6 mais ça risque de changer sous peu
UseIPv6 Off
# Désactive l'identification distante
IdentLookUps Off
# Cache les liens symboliques
ShowSymLinks Off
# Enfermer les utilisateurs dans leurs homes (~) respectives (ou ~/www plutôt)
DefaultRoot ~/www
# Autoriser la reprise d'upload
AllowStoreRestart On
# Autoriser la reprise de download
AllowRetrieveRestart On
N’oubliez pas de faire un « /etc/init.d/proftpd restart » et vous pouvez tester en vous loguant avec un utilisateur système valide à partir d’un client FTP comme FileZilla par exemple.
Si vous avez des soucis avec l’envoi de fichier par FTP, c’est sans doute un problème de droits. La plupart du temps, c’est qu’un dossier appartient à « Root », vous pouvez changer cela avec chown et chgrp.

Configuration d’apache : les virtuals hosts

Si l’on souhaite ajouter un site internet sur notre serveur, il faut configurer apache pour qu’il sache quoi faire (dans quel dossier aller chercher les fichiers du site, les règles qu’il doit appliquer, ce genre de choses). Je vous recommande de suivre une règle simple : un nouveau site sur notre serveur = un nouveau fichier « virtual host » dans « /etc/apache2/sites-available/nom_du_site« .
Au niveau de la configuration, c’est plutôt simple puisque la plupart des fichiers virtual hosts se ressemblent, à force ce n’est plus que du copier/coller. Voici un exemple de virtual host :
/etc/apache2/sites-available/tutorielvideo.fr
<VirtualHost *:80>
# Adresse email à contacter en cas de problemes
ServerAdmin bvek1.prof@gmail.com
# Nom de domaine avec les www
ServerName www.tutorielvideo.fr
# Les différents alias du site, généralement le NDD sans les www
ServerAlias tutorielvideo.fr
# La où sont stocké les données du site
DocumentRoot /home/tutorielvideo/www
<Directory />
# Des options : ici suivre les liens symboliques
Options FollowSymLinks
# Autoriser l'override, autrement dit les .htaccess
AllowOverride All
</Directory>
<Directory /home/tutorielvideo/www>
# Encore des options : multiviews peut être pratique
# Si on essaye d'accéder à site.com/index
# Et que index n'existe pas, le serveur va rechercher index.*
# Autrement dit : index.php, index.html etc...
Options FollowSymLinks MultiViews
# Autorise les htaccess
AllowOverride All
Order allow,deny
allow from all
</Directory>
# Log pour les erreurs
ErrorLog ${APACHE_LOG_DIR}/error.log
LogLevel warn
# Log des connexion au site
CustomLog ${APACHE_LOG_DIR}/access.log combined
</VirtualHost>
Je vous conseille de reprendre mon fichier et de faire à peu près pareil pour tous vos sites. Surtout n’hésitez pas à regarder la documentation d’apache pour découvrir de nouvelles options intéressantes.
Au passage, j’en profite pour dire que j’ai une configuration assez particulière en ce qui concerne les sites. Pour moi, un site sur mon dédié = un utilisateur. C’est assez pratique et intéressant au niveau de la sécurité (un site = un utilisateur = un compte ftp différents par sites, des répertoires séparés et cloisonné). Par contre, avec apache vous devez utiliser le mode userdir et modifier le userdir.conf (dans /etc/apache2/mods-available) pour remplacer « public_html » par « www ». Enfin bref, c’est expliqué dans la vidéo, c’était juste une parenthèse pour ceux qui souhaite copier/coller ma configuration.

Configuration des DNS avec Bind9

Pour faire pointer un nom de domaine sur notre serveur dédié, on doit configurer le serveur de DNS bind. On distingue 2 grandes étapes pendant cette configuration : créer la zone dans /etc/bind/named.conf.local et créer le fichier de configuration du site dans /etc/bind/db.nomdusite.
Si c’est la première fois que vous configurez vos DNS, vous devez également modifier le fichier /etc/bind/named.conf.options pour remplacer le « listen-on{127.0.0.1;}; » par « listen-on{any;}; » sinon les requêtes ne parviendront pas au serveur.
Exemple de zone dans : /etc/bind/named.conf.local
zone "tutorielvideo.fr" {
type master;
file "/etc/bind/db.tutorielvideo.fr";
allow-transfer {213.186.33.199;};
allow-query{any;};
notify yes;
};
  • type master : indique qu’il s’agit du serveur dédié maitre (pour un dédié secondaire, on aurait mis « slave » (esclave))
  • allow-transter :l’adresse IP du serveur DNS secondaire, elle vous est fourni par votre hébergeur.
  • allow-query : autorise tout le monde à interroger le serveur
  • notify : envoie une notification aux esclaves en cas de mise à jour
  • file « /etc/bind/db.tutorielvideo.fr » : indique le fichier qui contient les informations sur le nom de domaine et les sous domaines.
Exemple d’un fichier de zone : /etc/bind/db.nomdedomaine
; tutorielvideo.fr
$TTL    3600
@	IN	SOA	ks383544.kimsufi.com. root.tutorielvideo.fr. (
2011020906 ; SERIAL
3600; REFRESH
15M; RETRY
1W; EXPIRE
600 ) ; Negative Cache TTL
;
; NAMESERVERS
;
tutorielvideo.fr. IN       NS       ks383544.kimsufi.com.
tutorielvideo.fr. IN       NS       ns.kimsufi.com.
;
; Nodes in domain
;
www       IN A         94.23.254.44
mail      IN A         94.23.254.44
ns1       IN A         94.23.254.44
smtp      IN A         94.23.254.44
pop       IN A         94.23.254.44
ftp       IN A         94.23.254.44
imap      IN A         94.23.254.44
tutorielvideo.fr.	IN	A	94.23.254.44
tutorielvideo.fr.	IN	MX	10 mail.tutorielvideo.fr.
;
; subdomains
;
*.tutorielvideo.fr. IN A 94.23.254.44
  • $TTL : si on traduit, c’est la durée de vie, autrement dit le temps max que les informations peuvent rester en cache (ici 3600s = 1h).
  • @ : ça fait référence au domaine de base que l’on est en train d’écrire (ici tutorielvideo.fr)
  • IN : c’est la classe, on le retrouve sur chaque ligne et sur internet c’est la seule option possible (autrement dit, on met toujours IN)
  • SOA : cet enregistrement sert à indiquer le serveur de nom primaire, l’adresse email à contacter en cas de soucis (le @ remplacer par un .) et des paramètres d’expiration
  • SERIAL : c’est une sorte de timestamp sous le format « yyyymmddnn », à changer à chaque modification du fichier pour indiquer une mise à jour
  • Refresh : indique au bout de combien de temps les serveurs esclaves doivent rafraîchir leurs caches
  • Retry : délai en seconde que les serveurs doivent attendre avant de faire une deuxième requête si la première a échoué
  • Expire : le délai en seconde au terme du quel la zone est considérée comme expiré si les serveurs esclaves n’arrivent pas à contacter le serveur primaire
  • Negative cache : durée de vie minimale de chaque enregistrement présenté plus bas dans le fichier
Ensuite on déclare tous les enregistrements. De manière globale, voici comment fonctionne un enregistrement (= 1 ligne)
  1. En premier on a le nom de domaine concerné, par exemple pour www.tutorielvideo.fr on écrit simplement www. La même chose avec ftp.tutorielvideo.fr, on écrit juste FTP. Dans mon cas vous remarqez que la liste est plutôt longue, mais ce n’est pas obligatoire.
  2. Ensuite on peut ajouter un TTL, chose que je n’ai pas faites ici.
  3. On ajoute le mot clé IN, dans tous les cas.
  4. On précise le type d’enregistrement (et c’est là que ça se complique). Il y a le type A qui permet d’associer une IP à un domaine, le type MX pour définir les serveurs de mail, le type CNAME pour faire des alias.
  5. En dernier, la valeur. C’est généralement une adresse IP ou un nom de domaine. Pour les types A c’est une adresse IP.
Voilà pour la configuration de bind sur notre serveur dédié. C’est probablement la chose la plus compliquée à comprendre alors je vous recommande ces liens qui vous donneront des infos supplémentaires :
  • La page Wikipedia des DNS : c’est une de mes sources pour ce tutoriel :)
  • Un tutoriel sur le siteduzero : également une de mes sources, simple à comprendre pour les débutants
  • Un article de SkyMinds : c’est un peu grâce à lui que j’ai réussi à faire fonctionner mes DNS la première fois :)
Maintenant que nous avons configurer bind, je vous propose quelques astuces pour vérifier vos fichiers de configuration. Premièrement, lorsque vous avez fini, placez vous dans le répertoire /etc/bind et lancez la commande « named-checkconf -z » qui se chargera de vérifier vos fichiers.
Je vous recommande également de lancer la commande « named-checkzone nomdedomaine. db.nomdedomaine » pour vérifier vos zones. N’oublier pas de redémarrer bind une fois terminé avec « /etc/init.d/bind9 reload« .
Une dernière vérification, lancez un terminal (côté client cette fois) et essayez « nslookup nomDeDomaine adresseDuServeur » et si tout est ok vous devez avoir votre nom de domaine suivi de l’adresse ip de votre serveur. Si c’est bon, vous pouvez passer à la configuration côté OVH.

Manipulation à faire sur le panel d’OVH

Lorsque vous avez fini de configurer votre serveur DNS sur le serveur, vous devez faire quelques manipulations dans votre panel OVH. La première chose à faire, c’est d’ajouter le nom de domaine que vous souhaitez héberger sur votre dédié dans le DNS secondaire d’ovh. Pour faire ça, vous devez sélectionner votre serveur dédié, onglet services, puis DNS secondaire. Vous cliquez sur « nouveau domaine » et vous précisez le nom de domaine avec l’ip de votre serveur. À la fin, vous devez avoir un truc qui ressemble à ça :

Ensuite, vous devez sélectionner le domaine que vous souhaitez mettre sur votre serveur dédié, cliquer sur « Domaine et DNS » puis « Serveur DNS » et enfin modification. En DNS primaire vous mettez votre serveur dédié et en secondaire, si vous avez un Kimsufi, ns.kimsufi.com (si vous avez une autre offre, renseigner vous). Vous devez avoir un truc comme ça :
Ensuite vous validez et patientez pendant 10-15 minutes. Si vous recevez un email vous confirmant que ça c’est bien passé, vous devez attendre encore 48h (ou moins si vous êtes chanceux) le temps que l’info se propage. Si vous avez une erreur, vérifier votre configuration de bind, surtout ce fichier /etc/bind/named.conf.options, regarder la ligne « listen-on » qui doit être sur « any » et non pas « 127.0.0.1″.
Voilà, le tutoriel est enfin terminé, j’espère que vous avez appréciez et que ça fonctionne de votre côté. Si vous avez des questions vous pouvez laisser un commentaire ci dessous (mais par pitié, lisez de la doc et faites des recherches avant, je suis surchargé de questions …). N’hésitez pas à partager cette page sur Facebook/Twitter/Google+ et rejoingez la page officiel du blog sur Facebook (merci !).

Je vous recommande aussi la lecture des sujets suivants :

"

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mercredi 10 août 2011

Créez votre propre distribution personnalisée

Créez votre propre distribution personnalisée: "

Il ya plusieurs façons de créer votre propre distribution GNU / Linux . Le plus complet et compliqué est de le faire "partir de zéro», mais il existe des applications pour aider dans cette tâche, bien que la plupart de ces programmes tout ce qu'ils font est de personnaliser une distribution de à votre goût, qui est quelque chose.

Pour ce travail, j'utilise Ubuntu 10.10 et une image ISO d'Ubuntu 11.04. Le programme de réglage de distribution à votre goût, se Ubuntu Customization Kit (UCK), disponibles depuis les dépôts ou de votre page de .

Laissez-nous commencer. Une fois installé, vous verrez que nous ouvrons un terminal et une fenêtre d'affichage du programme:

Fermé, et ensuite, nous avons demandé une langue pour montrer la distribution et le clavier. Nous avons choisi que vous voulez et suivez:

Maintenant passons à nous de choisir le type d'obus, nous avons Gnome, KDE et «autres». Si vous ne souhaitez pas installer tout de la première, vous pouvez installer ultérieurement que vous voulez. Je vais choisir Gnome et autres:

Maintenant nous vous demandons d'indiquer où l'image va changer:

Mettez le nom que nous donnons à l'image:

Dans la fenêtre suivante vous demande si vous voulez l' personnalisation manuelle est évidemment marque ainsi:

La prochaine question est de savoir si nous voulons supprimer les fichiers image pour de Windows que Wibi, autorun.inf, etc ...

Après avoir recueilli toutes ces informations, le programme nous indique le chemin où l'image est enregistrée et sera lancé dans le terminal, une fois entrer dans notre mot de passe root:

Une fois que vous avez fini de faire «leur truc», nous la plus amusante . L'écran suivant vous demande de choisir la façon d'installer des programmes,

Dans ce cas, nous choisissons gestionnaire de paquets, qui n'est rien d'autre que le gestionnaire de paquet appelé Synaptic . Pas besoin d'expliquer que de là vous pouvez ajouter des dépôts, installer et désinstaller des programmes, même.

Une fois que vous avez terminé l'installation, vous revenez en arrière, où si vous voulez, vous pouvez choisir d'installer à nouveau à partir de la console. Il peut être très utile si vous voulez installer un paquet. Deb ou pas dans les dépôts.

Quand nous aurons fini de tout laisser à notre goût, nous continuons avec « Continuer bâtiment , et de commencer à créer l'image (cela va prendre beaucoup).

Après la création de l'image obtiendrez un écran comme ceci:

Là, si tout va bien, votre image est prête afin qu'il puisse enregistrer et utiliser.

Pour vérifier que l'image fonctionne bien, nous ne pouvons accepter la suggestion du programme et de virtualiser avec Qemu, ou avec lequel vous préférez, VBox , VMware, etc ...

Si vous souhaitez utiliser Qemu, installé à partir du terminal en tapant:

sudo apt-get install qemu

Ensuite, copiez la ligne de la fenêtre précédente, dans mon cas:

qemu-cdrom / home/hispalis70/tmp/remaster-new-files/livecd.iso-boot D-256 m


J'ai donc été laissé à moi ...

... Et vous, osez-vous?

Par Elias Hidalgo Tutoriel pour Linux Zone

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lundi 8 août 2011

Accéder au disque dur de la Freebox V6 depuis l'extérieur

Voici une vidéo réalisée par b4dpack3t qui explique étape par étape comment accéder au disque dur de la Freebox Révolution depuis n'importe quel ordinateur connecté à Internet.

Pour cela, il vous faudra utiliser un logiciel tiers nommé HTTP Explorer qui est disponible gratuitement à cette adresse :
http://http-explorer.sourceforge.net/



 Info sur : http://www.freebox-v6.fr/

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samedi 6 août 2011

Ultimate Edition 3.0 Gamers Final

Salut,

Voilà dans quelques heures la sortie de Ultimate Edition 3.0 Gamers Final

Release Name: Ultimate Edition Gamers
Architecture: x86 (32 bit)
Environment(s): LXDE / Openbox
Filesize: 3.9 GB (4,207,253,504 bytes)
MD5SUM: c1bb700bb2c54753343c7694b494070f

Download: Ultimate Edition 3.0 Gamers Final




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mardi 2 août 2011

Screen du jour

Salut, voilà mon gnome 3 du jour


Le wallpaper => http://wen-jr.deviantart.com/art/little-fly-164309140


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